HFS Play

Salut;j'ai construis ma bartop sous Hyperspin depuis un mois (mais je suis le projet depuis 2016) et donc j'essaye d'apprendre tout seul de pas trop de poser de question c'est pour cela que j'utilise deux hyperspin un sur mon pc de boulot et l'autre sur ma bartop (dés que je maitrise un emulateur avec son mapping et tout je l'installe sur ma bartop).

Mais voila je suis arriver aux consoles sega j'utilise Kega Fusion depuis 12 ans mais sur ma bartop qui est sur W10,l'emulateur ne veut pas mappé ma manette 360,donc je me tourne avec Retroarch et je prends le core Picodrive (il emule toutes les consoles 8 & 16 bits) quand je termine tout,je lance un jeu avec retroarch (il freeze dés que je lance la partie et le probleme avec les jeux MD;32X;...) alors que sur mon pc de boulot il tourne niquel

je sais plus quoi faire j'ai tout fais (mis les bios;exécuter retroarch en mode windows 7)je me tourne vers vous pour m'aider je vous remercie d'avance

Bonjour Riyado, il faudrait un peu plus de details. Retroarch en mode windows ca tu peux enlever
-Est ce que tu passe par rocketlauncher pour lancer retroarch, si oui ya une version a respecter pour le module?
-Essaye aussi directement qu'avec retroarch, si c'est pas deja fait.?
-Si tu peux aussi mettre des images la ou ta des doutes on pourra vérifier. Ca peut etre une bricole et c'est souvent ca

Salut serviettzky62,j'ai pris la dernière version 1.8.5 de retroarch.
tout les jeux freeze a l'ecran titres,je lance les jeux soit par retroarch ou bien par rocketlaucher c'est la même chose je beau cherche je trouve pas la raison et la quand je lance mes jeux avec un autre emulateur (Kega fusion) en mode plein ecran il freeze mais je dois quitter le mode plein l’écran pour qu'il se lance.
Je sais pas pourquoi ma bartop me fait ça avec les jeux SEGA c'est une fan de nintendo peut etre
je joint mon message avec deux photos avec la meme rom 32X de Knuckles (l'une avec retroarch qui freeze et l'autre avec Kega qui freeze avant de quitter le plein ecran

essaie sans les bios pour voir, on ne sait jamais